Les actualités LGBTQI+ du mois de mars 2023
Le mois d’avril est enfin là, et avec lui vient cet article qui répertorie les actualités LGBTQI+ principales des dernières semaines. Et avant que certain·e·s ne fassent la blague : non, cet article n’est pas un poisson d’avril.
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- PMA en France : des milliers de demandes de premières consultations enregistrées
- L’État français attaqué en justice par des associations
- Paris : une manifestation féministe et pro-LGBTQI+ demande des alternatives
- La plateforme Twitter condamnée à justifier ses moyens de lutte contre les LGBTphobies, la haine et le racisme en ligne
- Nouveau scandale pour la police londonienne suite à la publication d’un rapport accablant
- L’Allemagne en phase de simplifier les demandes de changement d’identité de genre
- Les États-Unis continuent d’enregistrer des avancées LGBTphobes dans certains États
- La Cour suprême de justice du Venezuela change son Code de justice militaire
- Ouganda : entre mesures LGBTphobes et sanctions économiques
- Japon : l’ouverture du mariage pour tous·tes continue de faire son chemin
PMA en France : des milliers de demandes de premières consultations enregistrées
La procréation médicalement assistée, également appelée par son acronyme PMA, était rendue possible à toutes et tous, à l’exception des personnes trans, en France à partir d’août 2021. Elle entrait en vigueur le 29 septembre de la même année. L’Agence de la biomédecine, à travers son comité national de suivi publiait un rapport sur les chiffres clés des effets de ce changement majeur.
C’est ainsi que l’on retrouve dans le rapport de leur enquête : 370 dons de spermatozoïdes enregistrés pour la première moitié de 2022, sachant que le total pour 2021 était de 600. Une hausse est donc espérée de ce côté.
On retrouvait également 9303 demandes de premières consultations pour des couples de femmes ou femmes non mariées, 7600 premières consultations réalisées comptabilisées depuis le 1er août 2021, 450 tentatives de PMA avec don de spermatozoïdes, et 3 000 personnes supplémentaires en attente d’une PMA avec don de spermatozoïdes. On remarque également une hausse des demandes du côté de l’autoconservation de gamètes chez les femmes avec près de 5 000 demandes,
Du côté des délais, on observe une stabilisation de ces derniers. Au niveau national, un chemin complet de la prise du premier rendez-vous à la première tentative de PMA nécessite entre 14 et 15 mois en moyenne. Une belle avancée pour les femmes seules ou en couple qui attendaient cela depuis déjà très/trop longtemps. Il ne reste plus qu’à mentionner le fait que la PMA reste possible grâce aux dons de sperme. Ils sont ouverts aux hommes de 18 à 44 ans en bonne santé et restent gratuits en plus d’être anonymes.
L’État français attaqué en justice par des associations
Les associations SOS Homophobie et Sidaction, en plus du planning familial, annonçaient mercredi 1 mars attaquer l’État en justice pour ses manquements en matière d’éducation sexuelle dans les établissements scolaires.
Du côté des demandes, ces trois entités veulent que les trois séances annuelles d’éducation à la sexualité soient respectées. En effet, bien que cela soit inscrit dans le code de l’Éducation, peu d’élèves admettent avoir eu ces éducations pourtant nécessaires afin d’éviter de nombreuses problématiques. Cela souligne surtout un manque d’actions autour de ces thématiques qui seraient largement mises de côté par les autorités publiques et les institutions éducatives en France.
Ce constat était déjà connu puisqu’un rapport de l’inspection générale de l’Éducation datant de 2021 mentionnait un objectif qui n’était «à l’évidence pas réalisé». Un sondage plus récent de l’Ifop montrait que, parmi le millier de jeunes de 15 à 24 ans interrogés, 17% n’avaient jamais eu de cours d’éducation sexuelle, et un tiers environ aurait eu les trois séances annuelles prévues par le code de l’Éducation.
Ces manquements sont graves et directement liés à des comportements à risque et violents. En effet, les associations soulignaient notamment une corrélation avec une augmentation de 33 % des violences sexuelles entre les années 2020 et 2021, mais également de forts liens avec la mésinformation des jeunes sur le VIH/SIDA. Il ne reste plus qu’à espérer que cette procédure judiciaire puisse forcer la main de l’État dans le but d’éduquer et protéger les générations futures sur les questions importantes de la sexualité.
Paris : une manifestation féministe et pro-LGBTQI+ demande des alternatives
Le 6 mars dernier, plus d’un millier de femmes féministes et anticapitalistes défilaient avant la journée internationale des droits des femmes qui a lieu le 8 mars. Se réunissant volontairement entre femmes, personnes trans et hommes homosexuels uniquement, ces manifestants dénonçaient l’actuel projet de réforme des retraites qui fait actuellement bouger la France, mais demandaient également une alternative au système actuel qu’ils définissent comme raciste, sexiste et capitaliste.
🔴Retour en images sur la manifestation #Feministe et #LGBTQIA contre les #VSS (Violences Sexistes et Sexuelles) qui avait lieu aujourd'hui à #Paris à deux jours de la #JourneeInternationaleDesDroitsDesFemmes et de la #GreveFeministe du 8 mars.
— Peuple Révolté (@PeupleRevolte) March 6, 2021
📸 @NoemyParis pic.twitter.com/BdnBsvHvoH
Comme bien souvent, les féministes faisaient entendre des aspects souvent passés sous silence ces dernières décennies mais qui ont tendance, notamment grâce aux réseaux sociaux et mouvements comme #MeToo, à se faire de plus en plus entendre. Cependant, certains des slogans affichés lors de cette marche feront beaucoup moins l’unanimité, tels que «L’enfer, c’est les hommes», «Ni dieu ni mec», ou encore «le sexisme est partout, nous aussi».
Même s’ils sont considérés comme extrêmes, ces slogans soulèvent cependant de vraies questions : malgré les avancées considérables des femmes dans la société ces dernières décennies, qu’en est-il de l’égalité entre les hommes et les femmes ? Quelle sont les différences entre hommes et femmes lorsque l’on parle de sexualité ? Que fait-on réellement pour les victimes de viol en France en 2023 ? Et quelle est l’attention portée aux personnes LGBTQI+ autour de ces problématiques ?
Rien de choquant dans ce constat, il reste encore des avancées considérables à faire dans les domaines relatifs à ces interrogations touchant de multiples problèmes encore présents dans notre société. Et bien que cette démonstration nocturne n’ait pas donné lieu à des demandes officielles, peut-être se fera-t-elle entendre à travers les médias ou par le bouche à oreille. C’est en tout cas ce que l’on espère pour, à minima, que la société française débatte, se remette en cause, et envisage des changements pour un avenir meilleur pour toutes et tous.
La plateforme Twitter condamnée à justifier ses moyens de lutte contre les LGBTphobies, la haine et le racisme en ligne
Nous vous avions déjà parlé de cette affaire concernant la plateforme Twitter et ses moyens mis en œuvre pour lutter contre la haine, le racisme et les LGBTphobies en ligne. Il se trouve qu’il y a du nouveau concernant celle-ci :
La Cour d’appel de Paris avait demandé en juillet 2021 à la plateforme de détailler ses actions de modération et de lutte contre les propos haineux, racistes et discriminatoires. Cette procédure suivait une demande de la part d’associations telles que SOS Racisme ou SOS Homophobie de faire état des pratiques du réseau social face à ses obligations de modération. La plateforme, déjà bien connue pour ses manquements, avait renvoyé cette affaire face à la Cour de cassation.
Le 23 mars dernier, la Cour rejetait la demande de Twitter. Une grande victoire saluée par les associations et de nombreuses personnes. En effet, les GAFAM imposent souvent leurs règles de par leur influence et leur pouvoir sur des aspects jugés importants, sinon essentiels. Le fait de condamner Twitter semble être un premier pas vers une responsabilisation de ces entreprises et pourrait créer un précédent important en matière de lutte contre les discriminations en ligne.
Nouveau scandale pour la police londonienne suite à la publication d’un rapport accablant
De l’autre côté de la Manche, les forces de l’ordre sont également au centre d’un nouveau scandale. Mais chez eux, c’est la fonctionnaire du gouvernement britannique et membre de la Haute chambre du Parlement Louise Casey qui a mis le feu aux poudres avec un lourd rapport de 363 pages sur les pratiques des forces de l’ordre de la capitale anglaise.
Le 21 mars sortait donc un rapport sur la police de Londres, et qui met l’accent sur ses pratiques racistes, misogynes et homophobes institutionnelles. Le Premier ministre Rishi Sunak a réagi en appelant à un «rétablissement de la confiance» dans les services des forces de l’ordre, ainsi qu’à un «changement de culture». Du côté de certains médias, les mots étaient cependant beaucoup plus durs. En effet, les forces de l’ordre anglaises enchaînent les scandales et notamment des affaires de crimes sexuels.
Le rapport note une absence d’expérience ou d’effectifs du côté des officiers de terrain. On peut également y retrouver un manquement du côté de la prise en compte des violences faites aux filles et femmes en plus de manquements dans la prise en charge de ces affaires. Le rapport de l’enquête parle par exemple de dysfonctionnements ayant entraîné la destruction ou l’impossibilité d’exploitation de preuves. Et pour enfoncer le clou, le rapport mentionne également une surveillance accrue sur les personnes de couleurs contre une sous-protection de ces dernières, des traitements sexistes quotidiens envers les femmes policières, ainsi qu’une homophobie profondément ancrée.
Ce rapport accablant réussira certainement à être le point de départ de changements majeurs dans les forces de l’ordre londonienne. Cependant, en vue de l’ampleur de la tâche à accomplir, on peut légitimement se poser la question de la capacité à réformer tous ces individus jugés «toxiques» par le chef de la police londonienne lui-même.
L’Allemagne en phase de simplifier les demandes de changement d’identité de genre
C’est une tendance qui se dessine au niveau mondial : la simplification des changements d’identité de genre est en phase de devenir une nouvelle norme pour les pays les plus inclusifs. Chez nos voisins allemands, ce changement pourrait s’opérer sous peu.
Un accord révélé dans le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung mentionne que ce dernier autoriserait les personnes non-binaires, intersexes et trans à changer d’identité de genre plus facilement. Si cet accord est promulgué en l’état, une simple auto-déclaration suffirait pour effectuer le changement. À noter qu’en plus du changement d’identité de genre, celui du prénom sera également rendu possible. Bien évidemment, les mineurs font cas à part et seront toujours soumis à certaines conditions. Une personne de moins de 14 ans devra se référer à ses parents (ou leur représentant·e légal·e). Pour les personnes mineures de plus de 14 ans dont les parents seraient défavorables, il en reviendra à un tribunal de trancher.
La situation actuelle est telle que les textes allemands mentionnent la transidentité comme une maladie mentale. Un changement d’identité de genre n’est possible qu’après deux examens psychologiques et l’acceptation d’un dossier présenté à un tribunal d’instance compétent. Outre la complexité de ces procédures chronophages, leur coût reste élevé. La simplification évoquée est donc la bienvenue pour de nombreuses personnes.
Les États-Unis continuent d’enregistrer des avancées LGBTphobes dans certains États
Depuis la mort de Ruth Bader Ginsburg, juge à la Cour suprême des États-Unis jusqu’en septembre 2020, la plus haute instance du système judiciaire américain a pris une position beaucoup plus conservatrice. La décision de revenir sur l’affaire Roe v. Wade de 1973 a rendu l’interdiction de l’avortement possible dans les États, et de nombreuses dérives LGBTphobes sont depuis recensées. Plusieurs faits de cette nature ont été enregistré le mois dernier, mais nous allons revenir sur trois d’entre eux qui nous semblaient pertinents :
Du côté de la Floride, le gouverneur républicain DeSantis essaye de pousser encore plus loin sa loi LGBTphobe «Don’t say gay» concernant les écoles primaires. Ce dernier essaye d’élargir l’interdiction des écoles primaires aux lycées mais également de supprimer les sujets de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre dans ces lieux éducatifs.
Dans l’État du Missouri, une législatrice républicaine s’est faite incendier par un collègue sur sa proposition de loi. Celle-ci vise à interdire «l’éducation relative à l’orientation sexuelle et l’identité de genre dans les salles de classe par le personnel éducatif et intervenants externes». Interrogée sur le contenu de sa proposition, cette dernière ne semblait comprendre ce que son texte impliquait.
Notamment, certaines figures historiques comme l’exemple de Martha Washington, femme de George Washington, ne pourrait plus être mentionnée puisqu’elle est connue pour avoir été la femme de cet ancien Président. Répondant que cela n’engageait pas l’identité de genre ou l’orientation sexuelle de cette dernière, propos réfutés par son collègue, elle a poursuivi par mentionner l’instrumentalisation du langage comme outil pour améliorer son texte. Interrogée sur les orientations sexuelles qui devraient à son sens être interdites, cette dernière s’est empressée de mentionner sa «boussole morale» et son lien étroit avec la Bible alors qu’elle avait précédemment mentionné son souhait qu’aucune croyance personnelle n’influence l’éducation.
Enfin, et cette fois-ci à l’échelle nationale, on observe une hausse des demandes de censure des livres. Selon l’Association des bibliothèques américaines (American Library Association), ces demandes de censure concernait tout particulièrement les publications liées aux sujets des minorités et personnes LGBTQI+. Elles sont également ciblées selon l’âge du public et les fins des ouvrages : 58% portaient sur des livres d’éducation ou enseignés dans les institutions éducatives, et 86% des demandes de censure concernaient la littérature pour les jeunes.
Ce ne sont que trois exemples parmi une multitude d’actions LGBTphobes enregistrées aux États-Unis. Comme bien souvent, notre inquiétude se porte sur le sort réservé aux minorités, mais cela va plus loin. Les États-Unis étant le modèle à suivre pour beaucoup d’États dans le monde, un recul des droits des personnes LGBTQI+ chez l’Oncle Sam se traduirait certainement par un recul similaire voire encore plus violent et important à l’échelle globale.
La Cour suprême de justice du Venezuela change son Code de justice militaire
La Cour suprême de justice du Venezuela a décidé le 16 mars dernier de modifier son Code de justice militaire. Elle a annulé l’article 565 qui visait les personnes homosexuelles au sein des forces armées et les sanctionnait jusqu’à un maximum de trois années d’emprisonnement.
L’article, qui était remis en cause par de nombreuses organisations nationales et internationales, indiquait qu’une peine d’une à trois années d’emprisonnement serait appliqué à toute personne commettant «des actes sexuels contre nature». Par manque de définition et clarté sur ce qui est naturel et ne l’est pas, l’article a donc été retiré. Mais la justice du pays considère également qu’avec les récentes avancées scientifiques, sociales et juridiques, l’article 565 n’était plus constitutionnel et allait à l’encontre des principes appliqués dans les instances internationales.
Ce changement était salué dans le pays et à l’international. Il permettra à des anciens militaires de demander une reprise de service qui, sans l’article, pourrait donner lieu à une réponse favorable.
Ouganda : entre mesures LGBTphobes et sanctions économiques
Suite à un discours du Président ougandais Yoweri Museveni jeudi 16 mars appelant à une discussion sérieuse sur l’homosexualité, le pays d’Afrique de l’Est déjà très LGBTphobe s’est préparé à une nouvelle offensive répressive envers les personnes LGBTQI+.
Outre l’appel à un avis médical sur les homosexuels que le Président qualifiait de «déviation de la norme», un projet de loi proposait d’alourdir les sanctions à l’encontre des personnes s’adonnant à des relations homosexuelles ou qui se revendiquent comme LGBTQI+. Yoweri Museveni déclarait également que «les pays occidentaux devraient arrêter de faire perdre du temps à l’humanité en tentant d’imposer leurs pratiques aux autres».
Le lendemain de cette déclaration présidentielle, l’Ouganda arrêtait six hommes pour «pratiques homosexuelles». En plus de cette arrestation, les forces de l’ordre appelaient la population à dénoncer tout autre membre du groupe qui s’adonnerait à ces «activités homosexuelles». Le nouveau texte, bien qu’amendé par rapport à sa version originale, demande la peine de mort pour certains crimes «d’homosexualité aggravée» et jusqu’à vingt années d’emprisonnement pour les personnes s’identifiant comme LGBTQI+.
Le texte et ses nouvelles sanctions seront finalement adoptés le 21 mars, soit quelques jours après la déclaration présidentielle. Il ne reste plus qu’au Président de ratifier cette loi pour qu’elle entre en vigueur. Une opposition forte de la part de la communauté s’est faite entendre contre cette loi qui serait une des plus dures au monde contre les personnes LGBTQI+. Dès le lendemain, les États-Unis mettaient en garde l’Ouganda contre de potentielles sanctions économiques si cette loi LGBTphobe entrait en vigueur.
Japon : l’ouverture du mariage pour tous·tes continue de faire son chemin
Le Japon accueillera en mai le G7 dans la ville d’Hiroshima. Le Japon reste le dernier des 7 États à ne pas avoir légalisé le mariage pour toutes et tous. Les discriminations sont également monnaie courante dans le pays sous de nombreuses formes dont les LGBTphobies, et la loi ne semble pas réellement condamner ces dernières.
Le 6 mars dernier, le Parti démocrate constitutionnel du Japon présentait une proposition de loi au gouvernement. Proposition présentée juste avant l’arrivée du G7, et malgré le fait que de nombreuses institutions et défenseurs des droits LGBTQI+ ont leurs yeux tournés vers le pays, ce timing est politiquement calculé. Mais il faut garder en tête que la majorité actuelle du Parti libéral-démocrate est très conservatrice, et qu’il y a malgré tout très peu de chance que la proposition aboutisse.
Le problème est également d’ordre constitutionnel puisque la loi suprême du pays définit le mariage comme une union qui «ne peut avoir lieu qu’avec un consentement mutuel des deux sexes». C’est une formulation qui, selon les interprétations des anti- et pro-mariage pour toutes et tous, peut remettre en question la constitutionnalité d’un mariage entre deux personnes de même sexe. Le Premier ministre Fumio Kishida a fait l’objet de nombreuses critiques en prenant la parole sur le sujet. Selon lui, ne pas rendre possible le mariage entre personnes de même sexe ne serait ni discriminatoire, ni anticonstitutionnel. Ce dernier évoquait également une crainte vis à vis des conséquences d’un tel changement sur la société.
Malgré une opposition forte, la proposition est sur la table et le G7 arrive à grands pas. Cet événement pourrait potentiellement forcer la main du gouvernement japonais. Nous vous tiendrons au courant des suites de cette affaire lorsque des nouvelles nous parviendront du pays du soleil levant.
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Ces actualités LGBTQI+ du mois de mars 2023 se finissent sur ces actualités venues du Japon.
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