Les actualités LGBTQI+ du mois de septembre 2023
Nouvel article des actualités LGBTQI+ du mois passé. Septembre 2023 n’aura pas été de tout repos et quelques événements ont secoué les personnes LGBTQI+ et bien plus encore.
Commençant par le suicide d’un bordelais en passant par diverses condamnations pour actes LGBTphobes et bonnes nouvelles, il y a certainement de quoi vous sentir préoccupé·e·s, autant que vous redonner foi en un avenir plus arc-en-ciel et inclusif.
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Nous vous souhaitons, sur ce, une excellente lecture de ces actualités LGBTQI+ du mois de septembre 2023.
- Les adieux d’Aurélien, un bordelais de 39 ans, bouleversent les réseaux sociaux
- Éric Zemmour condamné pour des propos à caractère homophobe
- Football : chants homophobes lors de la rencontre PSG – OM
- Harcèlement scolaire : un collégien de 14 ans interpellé en plein cours
- Hongrie : ELLE affiche deux pères et leur enfant en première de couverture
- La CEDH condamne à nouveau la Russie pour agressions LGBTphobes
- Lutte contre le VIH : des objectifs non atteints pour l’Europe et l’Asie centrale
- La Californie interdit le retrait des livres sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre des écoles
- Turquie : un tribunal rejette une plainte visant l’ONG We Will Stop Femicides
- Hong Kong : un tribunal accorde le statut de parents à un couple de femmes lesbiennes
Les adieux d’Aurélien, un bordelais de 39 ans, bouleversent les réseaux sociaux
Mardi 26 septembre au matin, le corps d’un homme était retrouvé sur la plage de Lacanau en Gironde. Très rapidement, l’identité de la personne était identifiée : le corps gisant était celui d’Aurélien, un homme bordelais homosexuel de 39 ans.
Le frère d’Aurélien, Marc, avait rapporté son inquiétante disparition sur les réseaux sociaux le même jour. Le lendemain, mercredi 27 septembre, Marc revenait pour annoncer que le corps retrouvé était bien celui de son frère. Il y partageait également sa lettre d’adieux dans laquelle Aurélien explique son mal-être. On y découvre ses difficultés et son ressenti, autant lié à la société actuelle, le paraître et cette consommation à outrance qu’à ce qu’il a pu subir dans son passé. Il y évoque aussi son rapport avec les drogues qui l’ont entraînées vers le fond en dégradant notamment ses relations avec les autres, ou le regard et les commentaires, parfois involontaires et sans volonté de blesser, sur son orientation sexuelle.
Ces aspects pesaient sur le bordelais qui finira par conclure sa lettre avec un message d’espoir. Désireux de « casser cette spirale infernale », Aurélien rappelle les dangers des drogues et appelle à la bienveillance, à l’écoute, avant de conclure sur ces mots : « Ne me pleurez pas … dîtes-vous que je suis à présent libre ».
Ce sont malheureusement des drames qui sont encore trop fréquents, les suicides, tentatives de suicide, et envies suicidaires étant significativement plus élevés chez les personnes LGBTQI+ que les personnes hétérosexuelles. N’oubliez pas que si vous ou une personne de votre entourage en a besoin, des lignes d’écoute et de prévention existent. Vous pouvez notamment contacter la permanence psychologique du Centre LGBT Paris à l’adresse suivante (psy@centrelgbtparis.org), ou appeler le numéro national souffrance et prévention du suicide au 3114, numéro disponible 24h/24, 7j/7.
Éric Zemmour condamné pour des propos à caractère homophobe
L’association Stop Homophobie avait déposé une plainte en 2019 contre l’ancien candidat à la présidentielle pour des propos homophobes qu’il avait tenu sur la chaîne CNews. La sentence est enfin tombée pour Éric Zemmour.
C’est désormais officiel, Éric Zemmour est condamné à 4 000 euros d’amende pour les propos homophobes qu’il a tenu sur CNews. L’ancien candidat à la présidentielle avait tenu le 15 octobre 2019 les propos suivants : « La rencontre du mouvement féministe et du mouvement LGBT fait qu’avec la force des mythes de ces minorités, avec leurs relations dans les médias, dans la justice, au sein de l’appareil d’État, ils ont asservi l’appareil d’État à leur idéologie et donc à leurs caprices ». Il avait également affirmé la chose suivante : « On a des caprices d’une petite minorité qui tient la main sur l’État et qui l’asservit à son profit et qui va d’abord désagréger la société parce qu’on va avoir des enfants sans père et je viens de vous dire que c’est une catastrophe et deuxièmement qui va faire payer ses caprices par tous les autres Français ».
Éric Zemmour n’était pas jugé seul comme le veut la coutume pour les organes de presse et d’informations : le directeur de la publication de CNews, Serge Nedjar, se voit condamné également à une amende de 4 000 euros, dont 2 000 avec sursis. En plus de ceci, les deux hommes devront s’acquitter de versements de 3 000 euros de dommages et intérêts ainsi que 2 000 euros de frais d’avocats aux associations parties civiles qui ne sont autres que Adheos, Mousse, ainsi que Stop Homophobie.
L’avocat de M. Zemmour a déjà fait part de son intention de faire appel de cette décision. Son client n’en est cependant pas à sa première condamnation, ce dernier étant un habitué des propos discriminants concernant les minorités, les étrangers, les religions, …
Football : chants homophobes lors de la rencontre PSG - OM
Alors que la rencontre entre les deux équipes rivales Paris Saint-Germain et de l’Olympique de Marseille avait lieu le 24 septembre au Parc des Princes, le match de Ligue 1 a fait réagir de nombreuses personnalités et entités pour des chants entendus dans les tribunes.
En effet, ces chants à caractère LGBTphobe ont duré près d’un quart d’heure et venaient de la part de groupes de supporters du PSG dirigeant leurs propos vers leurs adversaires. Ces chants sont malheureusement récurrents lors de ces rencontres, mais font l’objet d’appels à des sanctions sévères. En plus des condamnations par des membres du gouvernement tels que la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra ou le délégué interministériel à la DILCRAH Olivier Klein, des associations appellent à identifier les supporters dont les comportements LGBTphobes sont condamnables et demandent à les traduire en justice.
Il y a quelques jours, le PSG ainsi que quatre de ses joueurs se sont faits convoquer par la commission disciplinaire de la Ligue de Football Professionnel. Ceux-ci seront entendu par la commission le 5 octobre prochain, probablement en lien avec la vidéo montrant les quatre joueurs qui chantaient avec leurs supporters. La France peut certainement prendre exemple sur ses voisins : la justice anglaise prononce régulièrement des sanctions lourdes à l’encontre des clubs sportifs en raison du comportement de leurs fans se rendant dans des stades pour y afficher ou crier des propos LGBTphobes.
En juillet 2023 ce sont les Wolves (Wolverhampton Wanderers F.C., un club de Ligue 1 anglaise) qui se sont fait rappeler à l’ordre pour le comportement de leurs supporters et ont par la même occasion dû s’acquitter d’une amende de 100 000 livres sterling (près de 115 000 euros). Il y a donc, sans chercher forcément très loin, des exemples et solutions qui pourraient fortement dissuader les spectateurs des matchs de football, ainsi que les joueurs, de pérenniser des comportements homophobes.
Le but reste bien évidemment de pénaliser les auteurs de ces chants LGBTphobes, mais il faudrait envisager d’aller plus loin dans la démarche. Les campagnes d’inclusivité dans le milieu du sport ne suffiront pas si aucune sanction forte n’est prise en parallèle et qu’il n’y a aucune volonté de faire changer les comportements présents dans les stades et le milieu du sport depuis bien trop longtemps.
Harcèlement scolaire : un collégien de 14 ans interpellé en plein cours
Une scène insolite dans un collège de Alfortville dans le Val-de-Marne a eu lieu milieu septembre. Faisant l’objet de soupçons de harcèlement envers une lycéenne trans de 15 ans, un collégien d’un an son cadet et étudiant dans un autre établissement a été interpelé durant un cours et devant sa classe.
Le 18 septembre, les parents de la victime se seraient rendus dans le bureau de la proviseure de l’établissement pour l’informer des menaces de mort, et insultes dont elle aurait fait l’objet de la part de l’élève interpelé. Ils se sont également rendus au commissariat de la ville afin de déposer une main courante. Utilisant les preuves apportées par les parents, les forces de l’ordre ont pu déterminer sur les captures d’écran l’identité de l’auteur des messages. Et ont procédé à son arrestation directement dans une salle de classe de son collège.
Le parquet a précisé qu’une enquête allait être ouverte pour violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure à huit jours et menaces de mort. Il a également retenu que ces menaces et violences étaient motivées par l’identité de genre et/ou l’orientation sexuelle de la victime, ces dernières donnant lieu à une circonstance aggravante. L’auteur de ces propos et violences a reconnu les faits et a présenté ses regrets. Le parquet a prononcé une mesure de réparation pénale à son encontre.
Malgré tout cela, le rectorat reste dubitatif quant aux méthodes employées par les forces de l’ordre dans cette affaire de harcèlement. Notamment, il s’interroge sur les conditions qui ont amené les policiers à procéder à une interpellation en pleine classe. Le gouvernement a réagi sur ses faits et Gabriel Attal, ministre de l’Éducation nationale, a promis un « électrochoc à tous les niveaux » pour lutter contre le harcèlement dans le milieu éducatif.
Hongrie : ELLE affiche deux pères et leur enfant en première de couverture
Nageant à contre-courant de l’idéologie hongroise dominante, le magazine ELLE affichait dans son dernier numéro une couverture pour le moins étonnante. Deux pères hongrois posent avec leur petite fille récemment née, avec le message « Born from love » (« Né·e de l’amour »).
Défiant le gouvernement de Viktor Orbán et sa politique LGBTphobe, le magazine offre une double-page au couple hongrois composé du neurochirurgien Laszlo Szegedi et de son mari restaurateur Hubert Hlatky Schlichter. Les deux posent pour la caméra du magazine avec leur fille qu’ils embrassent sur le crâne. Ils partagent notamment les difficultés qu’ils rencontrent en tant que couple homosexuel, notamment les discriminations dont ils font l’objet, difficultés qui se sont exacerbées avec l’arrivée de leur enfant. Le magazine voulait mettre l’accent sur la forme des familles qu’il présente comme structurellement multiples, mais toujours « ancrées dans un amour profond et inconditionnel ».
Cette couverture a été largement repartagée sur les réseaux sociaux et donne un message d’espoir à toutes ces personnes LGBTQI+ privées de leurs droits et cherchant encore leur place en Hongrie. Il faut espérer que cette initiative puisse faire bouger les choses en direction d’une inclusivité accrue dans le pays, qu’elle passe par la juridiction en vigueur ou par la vision que les hongrois ont des couples de même sexe.
La CEDH condamne à nouveau la Russie pour agressions LGBTphobes
La Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) a condamné le 12 septembre dernier la Russie. Encore une fois, la Cour accuse le pays d’avoir eu recours à des violences contre des personnes LGBTQI+.
Ce sont deux affaires distinctes qui accablent cette fois-ci la Russie dans deux affaires de violences LGBTphobes. La première concerne un groupe de onze personnes LGBTQI+ russes s’étant plaintes d’être arrêtées lors de manifestations pacifiques ayant pour but de faire valoir leurs droits. Huit d’entre elles ont été la cible d’insultes et violences LGBTphobes, dont l’une qui a perdu l’usage d’un œil. Les arrestations qui concernaient sept d’entre elles ont eu lieu alors que les protestations auxquelles elles participaient étaient autorisées. La Cour a condamné la Russie à verser des dommages moraux aux plaintifs allant d’environ 10 000 euros à 23 000 euros.
La seconde affaire concerne un homme enlevé sur son lieu de travail dans la ville de Grozny. Ouvertement homosexuel, ce dernier aurait été, en raison de son orientation sexuelle, rué de coups et menacé par des policiers. La CEDH a estimé le récit de la victime convaincant et Moscou n’ayant pas réfuté les dires de celle-ci, la Russie se voit condamnée à verser 52 000 euros de dommage moral au plaintif.
Bien que la Russie ne fasse plus parti du Conseil de l’Europe depuis le début de son « opération spéciale» menée en Ukraine depuis mars 2022, le pays est cependant toujours contraint d’exécuter et respecter les décisions de la Cour pour les affaires survenues avant le 16 septembre 2022. Dans tous les cas, la Russie inquiète toujours autant avec sa politique de répression anti-LGBTQI+ qu’elle mène avec fermeté et en ayant recours à des violations des droits de l’Homme de manière récurrente.
Lutte contre le VIH : des objectifs non atteints pour l’Europe et l’Asie centrale
L’ECDC (Centre Européen de Prévention et de Contrôle des Maladies, ou European Centre for Disease prevention and Control en anglais) est une agence européenne ayant pour but d’identifier, évaluer les risques et communiquer sur les menaces posées par les maladies infectieuses. Dans son dernier rapport, l’entité revient sur la situation du VIH en Europe et Asie centrale.
Selon l’ECDC, les pays des deux zones géographiques mentionnées seraient très loin d’atteindre leurs objectifs fixés à l’horizon 2030 en matière de lutte contre le VIH si rien n’est fait pour changer leur trajectoire actuelle. Il suffit de regarder les objectifs de 2025 pour se rendre compte de la tâche immense qu’il reste à accomplir. Les pays sont censés atteindre des taux fixés pour les facteurs suivants : 95 % des personnes vivant avec le VIH devraient avoir connaissance de leur état sérologique, 95 % d’entre elles devraient avoir accès à un traitement antirétroviral, et 95 % de ces personnes sous traitement devraient avoir une charge virale supprimée, donc ne plus pouvoir transmettre le virus lors de rapports. Malheureusement, la réalité actuelle fait que ces chiffres seront difficilement atteignables. Pour un objectif de 95-95-95, nous sommes actuellement à 83-85-93.
Ces manquements ont déjà été soulignés ces deux dernières années par ONUSIDA qui pointe notamment du doigt la pandémie de COVID-19 comme principale raison dans le retard pris en matière de lutte contre le VIH. L’entité onusienne faisait exactement le même constat à l’échelle globale, aucune région du monde n’ayant été épargnée.
La Californie interdit le retrait des livres sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre des écoles
L’État de Californie s’est doté d’une nouvelle loi sous l’impulsion de son gouverneur Gavin Newsom. Ce dernier répond aux différentes initiatives lancées par certains établissements scolaires qui souhaiteraient voir interdits les livres mentionnant l’orientation sexuelle ou l’identité de genre.
C’est une tendance qui a pris de l’ampleur ces derniers mois chez l’Oncle Sam. De nombreux États et entités du milieu éducatif ont débattu et légiféré sur la pertinence de manuels scolaires et livres présentant plus que l’hétérosexualité ou un modèle binaire des identités de genre.
Certains se sont clairement prononcés contre. On pense notamment ici à la Floride de De Santis et sa loi « Don’t Say Gay ». Sur la côte opposée, la Californie a décidé de faire exactement l’inverse.
Menaçant les établissements qui pourraient aller à l’encontre de cette loi, le gouverneur de l’État promet des sanctions financières lourdes en plus d’un potentiel arrêt des versements de financements et subventions de l’État. C’est le cas d’une école de Temecula, ville située au Sud-Est de Los Angeles, qui avait souhaité retirer un programme centré sur Harvey Milk, cet homme gay devenu l’une des figures militantes des droits homosexuels et LGBTQI+ aux États-Unis.
Tel l’élan qu’avait eu le bannissement des livres LGBTQI+ dans les écoles au début de cette polémique, nous espérons que cette décision puisse contrer le sentiment anti-LGBTQI+ grandissant du pays et inverser la tendance.
Turquie : un tribunal rejette une plainte visant l’ONG We Will Stop Femicides
Alors que l’ONG We Will Stop Femicides (« Nous mettrons fin aux féminicides » en français) avait fait l’objet de poursuites pour leurs activités en Turquie, un tribunal d’Istanbul annonçait le 13 septembre que la plainte avait été rejetée.
La dissolution avait été demandée en décembre 2021 par un procureur qui accusait l’ONG de prétendre défendre les droits des femmes tout en négligeant le concept de la famille et sa structure, entraînant son effondrement. Le procureur demandait la dissolution de l’association pour des activités qu’il a qualifié de « contraires à la morale », un argument souvent repris par les pays persécutant les minorités et mettant en avant des valeurs LGBTphobes.
Croulant récemment sous d’innombrables discours et propos haineux et/ou discriminatoires envers les minorités prononcés par le camp présidentiel de Erdoğan, la Turquie était il y a peu l’un des pays les moins discriminants du monde musulman. On peut par exemple rappeler que l’ambassade de Turquie avait signée avec 50 de leurs homologues une lettre ouverte soutenant les droits des personnes LGBTQI+ en Pologne. Il faut espérer que ce verdict puisse laisser souffler toutes les personnes impactées voire inverser la tendance au niveau juridique.
Hong Kong : un tribunal accorde le statut de parents à un couple de femmes lesbiennes
Ayant saisies la justice de Hong Kong l’année dernière, un couple de femmes lesbiennes se sont vues obtenir, enfin et toutes les deux, le statut de mère de leur enfant. Ce dernier est né par fécondation in vitro réciproque, donc que les deux femmes ont participé au processus de grossesse), mais seule l’une des deux femmes s’était vue reconnaître comme sa mère.
Le vendredi 15 septembre, la juge Queeny Au-Yeung a rendu le verdict : la décision d’écarter une mère de son statut matrimonial est considérée comme une forme de discrimination contraire aux lois en vigueur. La discrimination est notamment justifiée par le fait que le petit garçon n’aurait eu qu’un parent biologique, contrairement aux autres qui en ont deux.
Là où l’affaire est plutôt unique et historique se situe dans le fait que Hong Kong ne reconnaît pas les mariages entre personnes de même sexe. Les deux femmes ont du se marier et entreprendre le processus de fécondation in vitro réciproque en Afrique du Sud, pays qui autorise les deux.
La décision vient également remettre en cause les textes de législation actuels, jugeant comme discriminant le fait qu’un enfant ne puisse pas avoir deux parents en raison de leur sexe.
Le mariage pour tous·tes à Hong Kong est d’ailleurs revenu sur la table, mais la Cour Suprême s’est à nouveau prononcée contre. Elle a cependant ordonné au gouvernement de trouver une «solution alternative» telle que l’ouverture des unions civiles aux couples de même sexe afin de protéger leurs droits. Nous vous tiendrons au courant si changement majeur il y a.
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Ces actualités LGBTQI+ du mois d’août 2023 se terminent sur cette dernière actualité venue de Hong Kong.
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